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Origines des Bovet neuchâtelois

Le berceau des Bovet neuchâtelois se situe dans le Val de Travers, à Fleurier, commune dépendant autrefois du Prieuré

de Môtiers. Les registres de ce Prieuré ayant brûlé, il n'est pas possible de remonter avec certitude au-delà de Jean-Jacques I né en 1689 (voir « Les Personnalités »), l'ancêtre commun des fondateurs de la Caisse de famille Bovet, qui constitue le point de départ de l'arbre et de la généalogie qui sont présentés dans les pages ci-jointes.​

Un mémoire consacré aux Bovet horlogers (dits « Bovet-de-Chine »), également originaires de Fleurier, permet de faire remonter les ancêtres des Bovet neuchâtelois au XVe siècle (voir ci-dessous). Selon un autre auteur , « … dans les Annales du pays l'on trouve des Bovet à une époque assez reculée, ainsi un Nicholier Bovet en 1326, un Rolin Bovet en 1410 ».​

 

La présence de ce patronyme (sous une forme altérée) à cette époque confère une origine suisse à la famille puisque, bien que protestante, elle est attestée en terres neuchâteloises antérieurement à l'arrivée des huguenots français suite à la révocation de l'Edit de Nantes (1685).  A noter enfin que la famille Bovet est bourgeoise de Neuchâtel. Cet honneur a été conféré en 1764 au fils aîné de Jean-Jacques I, Claude François, notaire et secrétaire du conseil de Ville.

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